Notre histoire

Moi c’est Gabriela, la créatrice de Viens, on chine. Passionnée par le textile depuis ma tendre enfance, je me suis crée mon propre chemin pour travailler dans ce milieu qui me fascine tant : la mode. Je vais vous raconter tout ça ! Vous êtes prêts ?  

 

 

Amenée par ma mère couturière dans les boutiques de seconde-main et les vides greniers lorsque j’étais petite, j’ai développé un profond goût pour la seconde-main, la qualité des pièces, les belles finitions et matières. En grandissant, j’ai commencé à me constituer une garde-robe qualitative en chinant, à collectionner des pièces uniques, pour la plupart fabriquées en Europe, à faire attention aux détails et coupes. Petit à petit je m’intéressais de plus en plus à l’histoire de la mode, j’ai appris à reconnaître les vêtements anciens selon leur époque, à prendre soin et nettoyer les pièces délicates, je commençais à exprimer ma créativité à travers mes looks que je partageais sur des blogs ou sur Instagram.
 

 

Lors de mes études je lisais de plus en plus d’articles sur le côté dévastateur créé par l’industrie du textile. C’est à ce moment-là, que le déclic est arrivé. Jusqu’à lors je chinais et je m’habillais en vintage car je pouvais trouver des pièces originales et qualitatives mais les chiffres bouleversants de la fast fashion et tout ce qui entrainait derrière m’ont clairement ouvert encore plus les yeux.
Si mon rêve était de travailler avec les vêtements, ce n’est certainement pas le milieu de la mode dégoûtant que je voyais défiler sous mes yeux chaque jour que je voulais intégrer. Je ne me voyais donc pas travailler dans une grosse enseigne ou intégrer le côté sombre du luxe. J’ai décidé de garder les vêtements comme une passion et pas un métier.
 

 

… quelques années plus tard, le COVID est arrivé. Et quel timing ... il est arrivé pile à la fin de mes études en gestion de projets. Je vous laisse deviner la suite : pas de travail dans mon domaine, beaucoup de frustrations, d’hésitations, de dégoût … c’était (pas) une chouette période. Mais je vais vous dire un secret : ce n’est pas comme si j’ai adoré mes études et je savais ce que j’allais faire de ma vie. 
C’est à ce moment-là que Viens, on chine est né : par passion, par amour pour le vintage, les textures, les coupes et la qualité du savoir faire ancien. J’ai donc réussi, par mes moyens, à créer mon propre chemin dans un monde plus juste de la mode.